15 décembre 2007
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Il se tenait à Bali une conférence très importante de très nombreux pays concernant la suite à donner au protocole de Kyoto.
Les derniers rapports du GIEC sont alarmants. D'ailleurs, on voit tous les jours que les choses se dégradent: pas une journée sans mauvaise nouvelle environnementale:
- Pour Tours, c'était par exemple mardi dernier la pose de la première pierre d'IKEA, symbole du tout voiture (des milliers de nouvelles voitures par jour vont inonder l'agglo pour le plus grand bonheur de l'économie).
- Pour le pays, c'est la programmation annoncée de l'ouverture des magasins de meubles le dimanche (ce qui va donc aggraver la situation de Tours d'un jour de plus par semaine). Tout cela au nom de la croissance.
- Pour le Canada, c'est la fin annoncée des saumons sauvages d'ici 4 ans à cause des élevages industriels et des parasites qu'ils engendrent (qui s'en vont affecter les espèces sauvages).
- Pour le monde, c'est la conférence de Bali et ses effets d'annonces sans résultat.
A Bali, on a parlé d'engagement à réduire les gaz à effets de serre, mais personne ne se donne de données chiffrées, c'est donc l'enfer pavé de bonnes intentions. Tout le contraire de ce que vous diront les médias dominants. TF1 vous parlera de succès, Vélorution Tours vous informe du pire.
" Le Canada et les Etats-Unis se sont opposés à ce que soit inclue dans la déclaration finale, comme le souhaitait l'Union européenne, une fourchette pour la réduction des émissions de GES dans les pays riches."
"Le consensus scientifique est réduit à une note de bas de page, qui renvoie à un tableau où chaque pays peut opter pour le scénario qui lui convient", déplore Pascal Husting, directeur général de Greenpeace France dans un communiqué commun publié par le Réseau Action Climat-France, la Fondation Nicolas Hulot et Greenpeace France.
"La feuille de route dessinée à Bali prend le risque du + 3 degrés Celsius, du bouleversement irréversible des écosystèmes, de centaines de millions de réfugiés climatiques", a ajouté Husting.
Les derniers rapports du GIEC sont alarmants. D'ailleurs, on voit tous les jours que les choses se dégradent: pas une journée sans mauvaise nouvelle environnementale:
- Pour Tours, c'était par exemple mardi dernier la pose de la première pierre d'IKEA, symbole du tout voiture (des milliers de nouvelles voitures par jour vont inonder l'agglo pour le plus grand bonheur de l'économie).
- Pour le pays, c'est la programmation annoncée de l'ouverture des magasins de meubles le dimanche (ce qui va donc aggraver la situation de Tours d'un jour de plus par semaine). Tout cela au nom de la croissance.
- Pour le Canada, c'est la fin annoncée des saumons sauvages d'ici 4 ans à cause des élevages industriels et des parasites qu'ils engendrent (qui s'en vont affecter les espèces sauvages).
- Pour le monde, c'est la conférence de Bali et ses effets d'annonces sans résultat.
A Bali, on a parlé d'engagement à réduire les gaz à effets de serre, mais personne ne se donne de données chiffrées, c'est donc l'enfer pavé de bonnes intentions. Tout le contraire de ce que vous diront les médias dominants. TF1 vous parlera de succès, Vélorution Tours vous informe du pire.
" Le Canada et les Etats-Unis se sont opposés à ce que soit inclue dans la déclaration finale, comme le souhaitait l'Union européenne, une fourchette pour la réduction des émissions de GES dans les pays riches."
"Le consensus scientifique est réduit à une note de bas de page, qui renvoie à un tableau où chaque pays peut opter pour le scénario qui lui convient", déplore Pascal Husting, directeur général de Greenpeace France dans un communiqué commun publié par le Réseau Action Climat-France, la Fondation Nicolas Hulot et Greenpeace France.
"La feuille de route dessinée à Bali prend le risque du + 3 degrés Celsius, du bouleversement irréversible des écosystèmes, de centaines de millions de réfugiés climatiques", a ajouté Husting.
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