Plus d'Alphajets de la BA705 qui gaspillent le pétrole!
Plus de trainées blanches dans le ciel!
Plus de bougisme pour aller manger un repas chinois au Maroc le temps d'un Week-end!
Longue vie aux volcans et bons réveils à eux;
Quelques commentaires lus deçi-dela:
"Je bénis le ciel de ne plus avoir ces horribles trainées blanches dans le ciel."
"quel beau ciel bleu ne trouvez vous pas ?"
"Quel beau weekend, si seulement cela pouvait durer…"
"Et ce ciel ! Bleu !
Bleu, limpide, vierge de ces longues trainées blanches. Il y a longtemps qu’on n’avait plus vu ça. Profitons-en."
"Pour une fois, on n’a pas eu les retours en avion du dimanche soir, ce grondement faible et néanmoins bien présent, ces avions qui se suivent sans discontinuer. ça a été un beau dimanche, et ça fait vraiment rêver…"
"Une fois encore , on ne peut que s’étonner de cet élan pour aller dans le mur, alors que nous savons ce qui nous menace depuis si longtemps.C’est tellement effarant que je suis encore abasourdie de voir ces foules pressées dans les aéroports, comme je les vois sur les routes, alors que tout le monde parle de crise et de changement de comportements !"
"Si tous les volcans du monde pouvaient se donner la main…"
"que j’aimerais vivement qu’aucun avion ne puisse plus jamais décoller”
Et si c’était possible? Et si les compagnies aériennes succombent ? Si cela continue encore quelque temps, va-t-on devoir les sauver comme on sauve - toute naturellement - une banque?"
"Le paradoxe de notre société est que nous avons beau être atteints de “bougisme”, le moindre grain de sable (c’est le cas de le dire) dans nos vies trop bien réglées, et c’est la panique, la catastrophe. Les choses prennent des proportions démesurées. Notre volonté à vouloir tout contrôler, qui n’est qu’illusion, nous a rendu vulnérables à l’extrême."
"Il me revient à la mémoire, un titre de Génésis, groupes de rock alternatif qui accompagna mon adolescence dans les années 70 : “Dance on a volcano”. Un titre de circonstance, non ?"
"Ou le retour des cieux limpides et tranquilles tels que les connaissaient Mozart, Beethoven, Schubert… et autres grands amoureux de la nature."
"Jubilation de voir la nature nous adresser une sorte de message subliminal : “vanité des vanités, tout est vanité”. Occasion de relocaliser nos économies ainsi que nos existences : “Le malheur de l’homme vient de ce qu’il ne sait pas rester dans sa chambre” (Pascal)."
"Cela me rappelle les dernières tempêtes de neige pendant lesquelles j’avais entendu à la radio une dame dont la petite ville était bloquée et sans électricité et qui expliquait ceci : “ça change un peu, on sort dehors, on discute entre voisins, on se promène, on s’est organisés dans le quartier pour que les plus vieux ne manquent de rien”…et de rajouter à la fin : “Mais bon…il faudrait pas que la vie s’arrête trop longtemps quand même!”."
"Eh oui, après s’être pris une claque par la main invisible du marché de Maman l’économie mondialisée qui a atteint ses limites internes(machnisation) et externes (limites naturelles), les piou-pious industriels vont aller chouiner chez papa l’Etat (sur lequel ils ont pourtant craché, demandant toujours plus de dérégulation)."